Actualités Hors Stade
Corrida du Haut-Touquet, le 14 décembre 2019 - Marquette lez Lille
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- Écrit par : Cyril A.
A deux, c'est mieux ! Ainsi, Clotilde Fostier et Julien Marché ont pris part ensemble au 10 km de la Corrida du Haut-Touquet. Et ensemble, ils ont battu leur record sur la distance ! Julien finit 182ème (18ème M1M) en 49'45 et Clotilde 184ème (4ème M0F) en 49'59.
Cross départemental, le 1er décembre 2019 - Beuvrages
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- Écrit par : Cyril A.
Quelques coureurs du club n'ont pas été très loin ce week-end pour participer au cross de Beuvrages, servant de support aux départementaux FSGT de la discipline.
Sur la course 1 de 7900 m réservée aux V1M, Eddy Derycke se classe 3ème en 28'31, juste devant Mohamed Fellah, 4ème en 28'56. Frédéric Ferez arrive peu après, à la 14ème place, en 30'31. Sur la course 3 (6430 m, pour les JUM, V2M, V3M et V4M), Michel Serughetti finit 43ème en 29'14, deux places devant Rémy Jazdonczyk, 45ème en 29'29. Ferdinand Kluziak enchaine les week-ends de compétition (attention à bien se reposer parfois !) et se classe 23ème de la course 6 (2880 m pour les BEM, BEF et MIF). Nicolas Blin a pris part à la course 9 (pour les SEM) et prend la 21ème place en 32'43.
Cross du Héron, le 1er décembre 2019 - Villeneuve d'Ascq
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- Écrit par : Cyril A.
Pas facile (même s'ils ont enlevé cette année le tronc d'arbre à franchir, quel dommage !), mais toujours apprécié des coureurs, le Cross du Héron était au programme de cinq de nos athlètes le week-end dernier.
Quatre d'entre eux ont participé au cross long masculin de 8870 m. Comme souvent, Aubin Tourland est le premier de nos représentants à franchir la ligne d'arrivée : il se classe 10ème (8ème SEM) de cette épreuve très relevée. Frédéric Delannoy attaquait sa saison de cross avec cette épreuve qu'il conclut à la 31ème place (5ème M0M). Frédéric Destrez arrive ensuite, se classant 76ème (11ème M1M). Quant à Jérémy Damblemont, il termine 154ème (26ème M1M).
Valentin Piedboeuf, pour son premier cross au sein de l'USVA, se classe 9ème (5ème SEM) du cross populaire de 3845 m.
Résultats
Photos : Maxime Delobel - Claude Bouquillon
Marathon de Valence, le 1er décembre 2019 - Espagne
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- Écrit par : Cyril A.
Faites un marathon ! Tous ceux qui ont eu la motivation de se lancer sur cette distance vous le diront : il s'agit d'une expérience marquante, un monument sportif à franchir, un dépassement de soi même et surtout une aventure humaine à partager. Par contre, n'en parler pas de suite aux participants du dernier marathon de Valence, ils vous diront "plus jamais ça" en vous parlant de courbatures, crampes et douleurs ! Mais rassurez vous, dans quelques jours (ou semaines), ils se demanderont "On le fait où, le prochain marathon" ? Voici le retour sur ces quelques jours en bord de mer espagnole, 5 ans après la première participation groupée de l'USVA à ce marathon...
Vendredi 29/11
Une belle délégation de l'USVA s'est rendue à Valence, avec des départs différés de différents aéroports du Nord de la France et de Belgique. Du voyage, nous avions la Famille Kedziora (Laurent, Nam, Stanislas et Benjamin), Isabelle et Franck Meurisse, Stéphane Bornat, Céline Vilquin, Samuel Caron, Philippe Thorel, José Fernandes Da Costa, Eric Leclercq, Elodie Guillou, Pascal Carcopino et Valérie Schryve, Florence et Rémi Gentilini, Marie-Jeanne et Cyril Elslander, Marc et Christine Maliar, Emilie Turpain et Cyril Audras. Premier choc en sortant de l'avion : plus de ciel gris et températures proches de zéro, place à un azur uni et plus de 15 degrés (jusqu'à 25°C durant le week-end)... De quoi faire de belles photos à envoyer à nos camarades restés dans le Nord, qui ont bien du nous maudire !
Les premiers arrivants ont eu le temps d'aller chercher leur dossard et parcourir les quelques stands du marathon expo, ce qui leur a permis de découvrir le site de la Cité des Arts et des Sciences, où a lieu le départ et l'arrivée de la course. Ce site est un des gros atouts de cette compétition, avec ses bâtiments futuristes, majestueux, reposant autour de bassins d'eau. Que ce soit la nuit, éclairé des mille lumières, ou de jour, avec les reflets du soleil, le lieu en impose et donne une grandeur supplémentaire à l'arrivée d'un marathon, événement déjà bien chargé émotionnellement.
Le soir, un petit groupe se retrouve dans un restaurant italien afin de partager le premier plat de pâtes espagnol. Nous avons découvert la "célérité" des restaurateurs locaux : il ne fallait pas être pressé pour avaler notre dose de glucide (ou une pizza bien garnie pour nos accompagnatrices, peu gênées de faire envie aux coureurs !). Puis direction nos différents logements, hôtels ou appartements, afin de se remettre du voyage.
Samedi 30/11
Au grand désespoir de celui qui a passé le cap des 38 ans la veille (Cyril E, qui a néanmoins réussi à négocier 15 min de sommeil en plus), les plus courageux se sont donnés rendez vous à 7h45 pour le traditionnel footing de veille de course. Quelques kilomètres en groupe autour de la Cité des Arts et des Sciences, toujours sous le soleil avec des températures estivales (pour nous, nordistes français, pas pour les locaux qui étaient en doudoune). Nous avons croisé les futures vainqueurs (voisins de chambrée de la famille Kedziora), qui faisaient leur footing au rythme auquel les meilleurs marathoniens du club ont fait leur course.
Après un petit déjeuner un peu frustrant pour les marathoniens (qui ne peuvent profiter des buffets gargantuesques des hôtels), place au tourisme ! Pendant que Laurent cherchait le Parc Guell et la Sagrada Familia, direction le centre historique de la ville pour les autres (ou le marathon expo pour ceux arrivés trop tard pour récupérer leur dossard la veille), en passant notamment par les Jardins du Turia (10 km de long !), magnifique terrain de jeu des coureurs valenciens et où Cyril E a pu s'improviser photographe puis observer attentivement le physique les gammes d'une athlète locale.
Quel contraste avec la Cité des Arts et des Sciences ! Nous nous retrouvons au milieu de bâtiments du XIIème siècle, des locaux en tenue traditionnelle et une foule de touristes déambulant entre les murs anciens et les boutiques où sont vendus les traditionnels bibelots mais également les spécialités culinaires locales... Une torture pour les athlètes, notamment lors de la traversée du Marché Central, une immense (et magnifique) halle accueillant d’innombrables stands de charcuterie et fruits (entre autres). Mais heureusement, l'heure du repas est vite arrivée et une partie du groupe s'est retrouvée par hasard au restaurant où les marathoniens avait pris leur repas de veille de course, en 2014.
Les plats (toujours servi avec aussi peu de hâte) sont à peine avalés que les tables sont reprises par un autre groupe de l'USVA venant d'arriver en ville après avoir passé la matinée au Marathon Expo. Nos athlètes se séparent ensuite en fonction des envies de chacun, certains rentrent se reposer tandis que d'autres vont se balader sur la plage avant d'être contraints et forcés par Cyril A. de faire un détour de quelques mètres par les rues ayant accueilli le Grand Prix d'Europe de Formule 1, il y a quelques années, le long du port.
Mais au soir, tout le monde parvient à se retrouver. Sous l'impulsion de Laurent, nous le rejoignons à son hôtel qui proposait des plats de pâtes au prix défiant toute concurrence. Mais malheureusement, qui dit prix bas dit souvent qualité faible ! Et ce principe s'est malheureusement vérifié... Pâtes froides et/ou trop cuites, service (très) lent, erreur de commande, le dernier repas avant la course n'a pas été d'un grand plaisir pour le ventre ! Mais chacun a pu malgré tout manger suffisamment pour partir ensuite se reposer en vue de l'épreuve du lendemain...
Dimanche 1/12
Un peu avant 6h du matin, les salles à manger des hôtels se remplissent rapidement d'étranges personnes aux habits multicolores et yeux un peu dans le vague, se contentant essentiellement de piocher sur une partie du buffet, délaissant les mets un peu trop gras et peu propices aux pratiques sportives... Le réveil est un peu difficile, surtout qu'il est parfois difficile de trouver le sommeil la veille d'un tel événement.
Pendant que les athlètes préparent minutieusement leur tenue et font la course dans leur tête, nos accompagnateurs peaufinent leur plan d'action. Le parcours, qui sillonne la ville, va permettre à ces derniers de voir facilement les coureurs plusieurs fois durant la course. Aidés de l'application officielle du marathon pour suivre en direct les temps de passage des coureurs, nous avons vu certains d'entre eux jusqu'à 5 fois sur les 42,195 km ! Un support bienvenu, nécessaire même, pour donner le meilleur de soi-même. Un grand merci donc à toutes nos accompagnatrices : Émilie, Marie-Jeanne, Valérie, Isabelle, Nam et Florence, qui, même si elle était inscrite au Marathon, n'a pas pu prendre le départ pour cause de blessures. Situation difficile mais ce n'est que partie remise, Florence ! Nous pouvons également associer à ces supporters Rose Palud, qui a participé au 10 km, et Anne-Sophie Flahaut, qui a du malheureusement abandonné en cours de marathon.
Avant de parler des résultats, parlons un peu du parcours. Plus de 22000 coureurs au départ du marathon (21225 à l'arrivée), cela fait du monde. Les différents sas partent à des horaires différents, de 8h30 à 9h, du Pont de Montolivet, au milieu de la Cité des Arts et des Sciences. La première partie de course emmène les coureurs vers l'Université puis sur de longs boulevards un peu à l'extérieur de la ville. Des décors pas forcément attractifs mais une partie très roulante, parfaite pour prendre un bon rythme. Une fois le semi-marathon passé, les choses se compliquent un peu. Des faux plats montants apparaissent et surtout, le vent fait face aux coureurs. Conjugués avec la fatigue qui s'accumule, les jambes se durcissent et les pas deviennent de plus en plus difficiles. Les coureurs traversent la vieille ville et ses bâtiments historiques mais n'ont plus toujours la tête à apprécier le décor, même si les derniers kilomètres finissent en léger dénivelé négatif. A l'approche de l'arrivée, une courte et raide pente descendante (et pavée) ramènent les marathoniens au milieu de la Cité des Arts et des Sciences, qui finissent leur épreuve sur une ligne droite aménagée au dessus d'un bassin d'eau. Un cadre magnifique à la hauteur de l'effort d'un marathon !
Dans le sas numéro 3, on retrouvait les deux Cyril, Cyril Elslander et Cyril Audras. Ils tombent par hasard, au milieu du sas sur un troisième Cyril, un belge qui se présente comme un ami de Clément Campini et Marc Maliar. Normal, il vend de la bière ! Les trois Cyril débutent la course ensemble, sur un bon rythme. Après avoir franchi le semi-marathon en un peu plus de 1h20, Cyril A se détache des deux autres. Il parvient à garder le même rythme jusqu'au 3/4 de la course mais la fin est plus compliquée. En serrant les dents, il franchit la ligne d'arrivée en 2h41'38, à une quarantaine de secondes de son record, à la 502ème place (141ème M35).
Du côté de Cyril E, il garde Cyril A en vue durant de nombreux kilomètres, mais un de ses muscles ischio-jambiers commence à le faire souffrir petit à petit. Il résiste mais à quelques centaines de mètres de l'arrivée, il doit s'arrêter... Il nous a dit que c'était pour se faire étirer par la jambe, mais les caméras, qui ne l'ont pas lâché durant de nombreuses minutes, l'ont trahi : il avait repérée une mignonne bénévole qui l'aide à repartir ! Il parvient à rejoindre l'arrivée en 2h49'29, à la 925ème place (234ème M35).
Le départ du marathon se trouvant sur un pont, Marc Maliar pensait pouvoir accéder à son sas du côté où les coureurs allait partir... Malheureusement, il est repoussé par la sécurité et doit faire le tour du pont. Quand il parvient du bon côté, son sas est déjà parti et prend le départ avec le sas suivant. Il remonte dans le classement au fur et à mesure de la course et termine en 3h02'53, 2664ème (140ème M50), nouveau record personnel.
C'est la progression du week-end ! Stéphane Bornat n'avait fait qu'un marathon jusqu'à maintenant, celui de Barcelone en début d'année. Après plusieurs mois d'entrainement et une préparation marathon sérieuse, il pouvait viser bien mieux que 3h20, sa précédente référence. Objectif largement atteint puisqu'il franchit la ligne d'arrivée en 3h05'13, 2932ème (442ème M45) ! La barre des 3h n'est pas loin.
Laurent Kedziora ne se sentait pas au top... La préparation ne l'a pas mis en confiance et on le sent même un peu désabusé. De plus, à fréquenter les kényans dans son hôtel, il a l'impression d'être un éléphant par rapport à ces machines ! Et pour couronner le tout, son fils s'est amusé à jeter ses chaussettes aux toilettes la veille de course. Mais même quand Laurent ne se sent pas au top, il produit des courses solides. Il prend la 3013ème place de la course (171ème M50) en 3h08'18.
Franck Meurisse, c'est toujours la force tranquille. Beaucoup de séances faites en partie seul, à cause de son travail, mais Franck n'a rien lâché. Même si Isabelle, sa femme, dit affectueusement qu'il perd 1 min à chaque marathon avec l'age, et que les faits lui ont donné une fois de plus raison, Franck réalise une belle performance avec un top 100 dans sa catégorie ! Il termine en 3h21'20 (5039ème, 96ème M55).
L'objectif d'Eric Leclercq était simple : battre son record, qui datait de plusieurs années, voir passer sous les 3h30. Il s'est donné les moyens pour cela avec une préparation sérieuse. Le record, il est bien tombé ! Eric prend la 8405ème place (1478ème M45) en 3h39'23, une belle progression. En récompense, il a eu le droit à une petite séance d'étirement par Philippe et Cyril E après la course, Cyril E qu'il récompensa par une petit bisou... C'est qu'il est affectueux, notre Eric !
D'ailleurs, s'il y en a un qui a pu goûter à l'affection d'Eric, c'est bien José Fernandes Da Costa ! Compagnon de chambrée d'Eric pour cette expédition valencienne, José a presque été tenté d'émigrer dans la baignoire pour dormir. Mais cela n'a pas eu l'air de trop perturber sa course. Il franchit la ligne d'arrivée en 3h59'46 (13534ème, 1340ème M50), passant ainsi pour la première fois sous la barre des 4h. Et tout cela en poussant Céline (voir plus loin) jusqu'à l'arrivée... Un grand seigneur ce José !
Participer à son premier marathon est toujours un moment un peu angoissant. Surtout quand quelques pépins physiques sont venus entachés la préparation, comme cela a été le cas pour Pascal Carcopino et Elodie Guillou. Nos deux néophytes sur la distance ont débuté la course ensemble et, malgré la distance, la fatigue, les doutes, sont parvenus à l'arrivée après une course régulière menée comme de vieux briscards. Beaucoup d'émotions pour ceux qui viennent de rejoindre le clan des marathoniens ! Elodie est classée 15629ème (382ème W35) et Pascal 15630ème (1599ème M50), tous les deux en 4h10'48.
Le binôme Elodie-Pascal était en début de course un quatuor, avec en plus Samuel Caron et Philippe Thorel. Un peu plus aguerris sur la distance, Sam et Phil ont tempéré les ardeurs de nos débutants en début de course avant de les laisser prendre les devants. C'est aussi ça, l'esprit d'équipe ! Nos deux compères ont continué ensuite leur chemin, à leur rythme, et avec un temps de 4h18'45, ils battent tous les deux leur record personnel ! Phil prend la 16782ème place (717ème M55) et Sam la 16783ème (2891ème M45).
Les dernières semaines de Céline Hus Vilquin ont été difficile. Une bonne préparation a été stoppée nette par un problème de genou. Après un passage chez un spécialiste, elle avait l'autorisation de prendre part à la course malgré les douleurs. Ne pouvant se résoudre à rester en bord de route, elle s'est donc alignée au départ de la course. Si le début est assez régulier, la douleur devient de plus en plus présente. Animée d'une sacrée volonté, et aidée par José qui l'a rejoint en cours de route, elle s'accroche et parvient à franchir la ligne d'arrivée en 4h21'08, à la 16926ème place (539ème W40). Tu nous as tous impressionné !
Nous pouvons également noter le beau premier marathon de Rémi Gentilini, le mari de Florence. Avec un temps de 3h28'04, il finit 5870ème (1394ème M40).
Après ces longs moments d'effort, les premières émotions passées, retour aux différents hébergements. Si certains passent rapidement sous la douche, quelques uns préfèrent goûter de suite aux plaisirs houblonnés, qu'ils avaient abandonné depuis quelques temps afin de préparer au mieux ce marathon. Le débriefing de la course prend la reste de la journée, qui se conclue pour la majorité des coureurs par un bon burger (du gras, enfin !) et un dessert (du sucre, enfin !). Le lendemain de la course, la pluie s'abat sur Valence, rendant le retour dans le nord un peu moins difficile.
Un grand bravo à tous les marathoniens pour leur performance ! La préparation a été sérieuse et il n'y a eu aucune grosse contre-performance en course. Ces résultats sont évidemment aussi dus aux plans d’entraînement, un grand merci à Nicole qui nous préparé au mieux pour cette compétition. Ce fut dur mais cela a payé ! Encore merci à tous nos accompagnateurs et accompagnatrices, mais également à tous ceux qui nous ont encouragé à distance... Et ils furent nombreux !
Place maintenant à la récupération, tout en gardant dans un coin de la tête la fameuse question : "quel sera le prochain marathon ?"....
Résultats
Photos : Album 1 - Album 2
Vidéo de la course
Saintélyon, le 30 novembre 2019 - Saint Etienne
- Détails
- Écrit par : Cyril A.
Maxime Bardin a participé à la Saintésprint, l'épreuve de 23 km (500 m de dénivelé positif) se déroulant dans le cadre de la mythique Saintélyon. Au terme d'une course qu'il juge comme sa meilleure de l'année, Maxime prend une belle 59ème place (48ème SEM) sur plus de 2400 arrivants, en 1h57'53.
Cross de la Fosse Cuvinot, le 24 novembre 2019 - Onnaing
- Détails
- Écrit par : Cyril A.
Le Cross de la Fosse Cuvinot a toujours beaucoup de succès auprès de nos athlètes. Certes, il se déroule juste à côté de Valenciennes, mais son parcours est agréable et surtout idéal pour attaquer la saison de cross ! Et pour le plaisir de tous, le soleil était également sur place.
Place aux résultats, sachant que les organisateurs ont utilisé encore les anciennes catégories vétérans plutôt que les nouvelles masters.
Course 2 (BEM, BEF, MIM, MIF) - 2300 m
La matinée commence bien pour l'USVA avec deux de nos jeunes athlètes sur le podium ! Corentin Farineau prend la seconde place de la course (2ème MIM), juste devant Ethan Boulanger, 3ème (3ème MIM). Également dans le top 10 du classement général, Iliès Ouahbi se classe 5ème BEM. Du côté des féminines, seule Clémence Bornat représentait l'USVA. Elle finit 45ème de la course, 4ème BEF.
Course 3 (cross court M/F) - 3500 m
Deux coureurs du club ont participé à cette épreuve. Tout d'abord, Nicolas Blin prend la 14ème place (3ème SEM). Tristan Dubois devient quantà lui de plus en plus un coureur hors stade puisqu'il a récemment pris part des courses sur route ces dernières semaines. Sur cette épreuve, il prend la 22ème place de la course, finissant 6ème SEM.
Course 4 (JUM, JUF, ESF, SEF, V2M à V4M, V1F à V4F) - 5900 m
C'est sur cette épreuve que nous retrouvions le plus d'athlètes du club. Notre meilleur représentant est Jean-Marie Merabet, qui se classe 7ème (3ème V2M). Il devance de quelques places Kader Ouali, 12ème (5ème V2M). Blandine Fiore et Hugues Versaevel arrivent l'un derrière l'autre, Blandine à la 18ème place (5ème SEF) et Hugues 19ème (7ème V2M). Pierre Gobinet n'est pas loin puisqu'il termine 21ème (3ème V3M), de même que Bruno Thiollet, 25ème (5ème V3M). Quant à Michel Hardy, qui a d'ailleurs suppléé Pierrot sur le podium des V3M, il se classe 35ème (2ème V4M).
Course 5 (cross long M) - 9000 m
Une domination. Il n'a pas d'autre terme pour décrire la main mise d'Aubin Tourland sur cette épreuve ! Après un départ sage, il prend la tête des opérations rapidement pour s'imposer finalement avec une minute d'avance sur son plus proche poursuivant. Notre néo-marathonien, Primo Pohin, retrouve la terre des cross pour prendre la 25ème place (9ème V1M). Jérémy Damblemont se classe 38ème (14ème V1M) tandis que Bruno Laignel a pris beaucoup de plaisir en finissant 40ème (23ème SEM) de son premier cross.
Course 6 (POM, POF) - 1300 m
Même si elle se spécialise petit à petit en marche athlétique, Salomé Hus reste véloce en courant puisqu'elle se classe 2ème POF de cette épreuve, 7ème au classement général. Elle est rejointe sur le podium de la catégorie par Maddo Tondeur, 10ème au général (3ème POF donc). Inès Mahir prend quant à elle la 21ème place (8ème POF).
Course 7 (EAF, EAM) - 6/8/10 min
La journée s'est finie comme d'habitude par l'épreuve d'endurance (sans classement) réservée aux plus jeunes coureurs, où nous avions deux représentants, venus montrer à leur grand frère et grande sœur qu'il faudra compter sur eux dans les années à venir : Arthur Hus et Yanis Ouahbi.
Bravo à tous pour ces belles performances et podiums ! Et merci à tous les accompagnateurs, parents et à nos juges.
Résultats
Photos : Patricia Dubois - Céline Hus Vilquin - Nicole Desmedt - Divers
Article sur le site de la Voix du Nord
- Cross de la Sensée, le 24 novembre 2019 - Féchain
- Trail des Allumés, le 23 novembre 2019 - Namps-au-Val
- La Beaujolaise 12.5, le 23 novembre 2019 - Bavay
- 10 km de Paris Centre, le 24 novembre 2019 - Paris
- Marathon de La Rochelle, le 24 novembre 2019
- Cross du Figaro, le 24 novembre 2019 - Paris
- Foulées outreloises, le 17 novembre 2019 - Outreau
- La Tranchée de Kopierre, le 17 novembre 2019 - Aniche
- Marathon de Deauville, le 17 novembre 2019
- Foulées loossoises, le 17 novembre 2019 - Loos